Retour aux sources quand je trousse ma douce et tendre sans plus attendre sans aller me faire pendre ailleurs. D'ailleurs, si par malheur, je vous écœure avec mes humeurs au demeurant risibles, je suis pas lisible quand il s'agit de lier des liaisons avec la belle Lizzy, je suis pas lazy quand faut léser les tissus mous de la petite Manon. Faut pas se mentir, sous vos mentons, c'est pas de la menthe, c'est pas du thon. Et pourtant, c'est pas tant que c'est pas tentant, c'est épatant tous ces tétons qu'à tâtons je teste. Voilà qu'on peste et me déteste parce que je reste, non sans leste, la petite peste qui vos restes va lester au fond d'un verre de larmes avec un zeste de sel.
Bien conscient que cracher mon venin n'est jamais un processus très productif lorsqu'il s'agit d'apaiser mon aigreur vis-à-vis du monde duquel je fais partie, je ne peux pourtant contenir ma véhémence à l'encontre du ramollissement cérébral qui frappe mes semblables. C'est à croire que mes congénères sont résolus à vouer leur entière existence au niais et à l'insipide. Rose, pastel, froufrous et marshmallow, ça s'anesthésie le bulbe à coup de mignon. Aveuglement volontaire, peut-être, la mocheté globale est sûrement trop dure à regarder dans les yeux.
Ce détournement de regard métaphorique est la seule potentielle explication qui me vient à l'esprit pour justifier ce comportement puéril, ce refus de grandir et d'accepter le fardeau qui incombe à tout être humain. Ils invoquent leur droit de conserver leur âme d'enfant. Tout ce que je vois là, c'est un mode de vie basé sur le déni.
Mes frères humains semblent oublier que leur soit-disant "droit" à ne pas faire face à la réalité dans laquelle ils sont prisonniers n'est possible que parce que nous faisons partie des quelques élus sur terre qui n'ont pas que pour seul objectif de se maintenir en vie. En effet, nous passons le temps qui nous est imparti à mener des actions vides de sens, bien à l'abri dans nos tours d'ivoire, sans nous soucier de ceux qui en bas crèvent comme des chiens, assurant la pérennité de ce monde injuste et de notre mode de vie égoïste et pantagruélique qui en est le fruit.
Certains disent : "Le monde est moche et triste." c'est ce que je me dis en les regardant. Ils oublient que la tâche ne disparaît pas lorsqu'on se contente de mettre un tapis dessus. Le monde reste pourri même quand tu regardes ailleurs. Il est plus facile de vouer un culte au vide spirituel et s'en imprégner afin de se purger de la misère du monde plutôt que d'accepter le fait qu'on fait partie d'une maudite élite qui a vampirisé le bon en cette terre et laissé le reste des habitants de la planète en proie à la misère et à une vie de souffrances.
La vérité c'est que nous sommes coupables dès notre naissance.
La vérité c'est que nous vivons en méprisant notre propre existence alors qu'un dixième de ce que nous vivons suffirait à combler 90% des êtres qui peuplent le caillou que nous parasitons maintenant depuis trop longtemps.
La vérité, c'est que quand on connait la vérité sur notre mode de vie, on comprend que certains préfèrent faire l’autruche, la tête enfoncée dans un nuage de guimauve.
My life into a joyful ride you turned
After all these years I spent in the dark
That soft warmth of yours on me set its mark
Heaven's no match for life with you, I heard
Your smile is now the sun that lights my way
Loud beats my heart when I'm with you, my dear
Darling, holding your hand I hold no fear
End of time, come, with you I'll spend that day
Quand je parle de mes projets d'écriture aux humains que je côtoie, beaucoup d'entre eux émettent
l'hypothèse que cette activité puisse un jour devenir prolifique financièrement parlant. Je ne suis pas surpris que mes congénères formulent de telles énonciations. Cependant, je les perçois comme s'ils souillaient mes aspirations de leurs médiocres espérances terre-à-terre. Alors que je leur expose l'accomplissement proche de l'oeuvre d'une vie, ils le rabaissent, le ramenant à un simple moyen de contenter leur pathétique rêve de billets verts. Billets qui, s'ils étaient en leur possession, ne serait qu'un gaspillage en futilités tout juste bonnes à engraisser ces pantins jusqu'à ce que mort s'en suive.
Madame, Monsieur, non, les euros n'ont pas sur tout le monde l'attrait macabre qu'ils peuvent exercer sur les zombies aveuglés de votre acabit.
Sachez que mon but ultime de d'arracher à mes tripes un mal-être bâti au cours des années passées à votre néfaste contact. J'aspire uniquement à déverser ma bile du haut d'un promontoire afin que vous puissiez goûter au fruit de votre vacuité.
Si un jour je vous ai craché au visage, n'y voyez point offense. Il ne s'agissait là que d'une avance sur le salaire de votre ignorance.
Jamais mes lèvres n'ont goûté l'ambroisie
Souvent ma couche remplie de vide
Me rappelle que malgré ces nuits d'extase
Bien loin de moi souvent tu vis
Lourd est le fardeau que l'homme doit porter
Créature qui jadis fut innocente
Vit alors sous le joug de Damoclès
Contrainte à expier les fautes de ses pères
Errant sur un navire voué à s'échouer
Nombreux ont pour seul réconfort
La main aimante et curatrice
D'une femme dont les yeux seuls guérissent leurs maux
Alors chaque fois que je touche ton épiderme
Brillantes et humides mes pupilles visent
Cette bicoque qui sera mon foyer
Qu'en un jour prochain nous partagerons
L'homme est grand, un peu déglingué. Rien qu'à sa démarche on dénote que le type a vécu plus de choses que les traits juvéniles de son visage le laisseraient présumer. Il traîne dans le square, pas vraiment de but. Pourtant le fond de ses yeux porte à croire que le bougre cherche quelque chose, du moins pas consciemment. Il fait les cent pas comme le flamant rose dans un estuaire poissonneux. De ça, de là, ses grandes enjambées déstructurées le mènent au gré du souffle de sa volonté malade.
Ça fait déjà un petit moment que son cirque dure, les gens l'ignorent mais gardent soigneusement leurs distances, feignant un changement de direction pour détourner leur route de celle de cet épouvantail animé. Exercice compliqué, étant donné que ce dernier virevolte comme un pantin dont les fils se seraient pris dans un ventilateur.
Quand ses gesticulations l'amènent, de manière fortuite ou calculée, à proximité d'un passant, le marcheur est alors animé d'une flamme renouvelée, bien que confuse, puisque ses regards en biais cherchent à établir un contact, alors que le reste de son langage corporel parait vouloir intimer aux badauds de passer leur chemin sans s'attarder. L'homme semble tiraillé entre deux feux, comme si les reliques de sa vie parmi les humains lui ordonnaient de renouer un lien avec l’engeance qui l'a ostracisée, tandis qu'une sale forme de honte, bâtie par les regards inquisiteurs au cours des années lui rappelle que jamais plus il ne fera partie de ce monde. Alors, résigné, il reprend sa valse morbide.
Courir le nu marathon.
Et arpenter le ponton
Maltraiter ton tonton
Et se serrer deux trois thons
Mais toi t'as rien gépi gros
T'es rien qu'un geon-pi gros
Parce que t'en fais toujours trop
Il a fallu que tu m'aggro
Sous tes allures de chard-clo
Tu vas finir comme Cloclo
Parce que moi j't'electro
Cute ou te cut à coup de cutter
Ouais les charlots comme toi ça me fait pas peur
Regarde donc fils
Vois donc mon vice
Alors dégage avant qu'j'tapisse
Les murs avec ton sang
Que dans le sol je plante tes dents
Tout ce que je voulais c'était écouter du bon son, mais il a fallu que ces pantins sortent de leur boite le seul soir ou je quitte ma putain de crypte.
Ma tendre muse à la chevelure de brasier
Dont les yeux capturent chaque rayon de soleil
Ta peau d’albâtre je ne me lasse pas de baiser
Ton corps aux allures divines tous mes sens éveille
Le diable seul sait que pour toi je me ferai
Peintre à la palette tachée de sang vermeil
En ton glorieux nom je m'armerai de bravoure
Puisque fou, aucun homme ne s'est fait paladin
De cette belle pour qui j'écris nombreux discours
Qui a la caresse aussi douce que le satin
Ton cœur, vaste désert j'inonderai d'amour
Afin qu'humide soit ton temple du soir au matin
Cependant trop de freins heurtent mon indécence
Je ne veux pas que vive une copie de moi
Les idiots diront que de l'union c'est l'essence
Bien que je souhaite ardemment vivre sous ton toit
Saches que comme toi je ne recherche descendance
Jamais tu ne porteras un enfant de moi
Ce lourd sentiment encore inconnu j'embrasse
Moi qui ai pourtant si peur de me voir mourir
Car en effet à chaque fois que tu m'enlaces
Cette barrière synthétique ne me fait que souffrir
Peu importe que ma généalogie trépasse
Puisqu'à l'infini de toi je pourrai jouir
Moi qui ne suis qu'un poète à la jeune plume
Tourmenté, harassé par une vie de peines
En suis venu à pleurer le temps où nous fûmes
Contemporains des génies à la gloire ancienne
Tant de fois dérouté face à la page blanche
Mains tremblantes, mine basse, à l'image de ce monde
Heurté par le passé, à l'espoir trop étanche
Mais qui ne se résout à cette à cette fin immonde
Car du vide glouton me suis fait ennemi
Meurtrier de pensée, animal délétère
Lui qui emplit les têtes de mes pairs et amis
N'attise que ma haine et mes pensées amères
Dix fois, cent fois, mille fois, l'ai-je maudit en silence
Combien de fois l’impressionnant golem abscons
A-t-il considéré ma verve comme nuisance ?
Alors que sans cesse, nous rêveurs, le combattons
Aveugle à notre lutte, le monstre ferme les yeux
Sourd à notre martyr, l'ogre ne fait que goinfrer
Afin de le défaire, je renierai les dieux
Sans remords, pour son cadavre pouvoir contempler
Trève de balivernes
Je sais bien qu'en moi le cancer hiberne
La sale haleine de ces connards foudroie la chandelle
Ma foi chancelle chaque fois que passe ma chance
De faire mieux que passable
Ouais c'est vrai la vie n'est qu'une passade
Y'a que mon nom qui sera gravé dans le marbre
On m'aura zappé avant la fin d'une vie d'arbre
J'ai trop de trucs sur la conscience c'est macabre
Y'a de quoi se slasher les veines au cut, ciseaux, sabre
Je vaux pas mieux que les autres, ça c'est sûr
Des plus forts que moi sont déjà partis sans murmure
Certains ont peur du bruit, moi c'est le silence qui me bute
Ça me rappelle qu'un jour la vie se casse, sérieux nique cette pute
Ma date de péremption ne cesse de s'approcher
Je serai pas comme ces rats qu'à la vie ne font que s'accrocher
Bonhomme, quand c'est ton heure, y a pas à négocier
La faucheuse attend pas, marchande pas, elle te fume sans sourciller
Je me la joue mac, je fais genre quand j'ironise
Alors qu'on fond de mes Stan la peur me tyrannise
Elle tire à balles réelles et mon calecif elle daronise
La rage au ventre, la bave aux lèvres, je ferme ma gueule comme une soumise
Je suis dans la file de ces Lemmings qui se dirigent pas vers les Grammy
Ça file droit comme sous Lénine pas le temps de se faire des amis
Avec le temps je comprends pourquoi elle se shootait Amy
En ce bas monde vaut mieux se vendre plutôt qu'accepter l'ennui
Parfois j'ai l'impression que mes pensées sont enclavées
Dans un lexique dyslexique parfaitement sous-développé
Pas faute de lire ces FDP déjà clamsés
Et de passer des heures sans que ma tête du rhymebook ait décollé
Je pige pas le truc les dés sont pipés ma parole
Je pompe que d'al, sur ma mère, je suis trop pas une charogne
Quand ces traîtres me surnomment pute c'est la douleur intercostale
Et quand je les croise, c'est le silence abyssal
Z'êtes trop dans le mal, à deux doigts de la fissure anale
Représente pour les zoulous en kiff sur Claire Chazal
Ma vie rendez-nous service et collez-moi une balle
L'épiderme échauffé, ruisselant de ma sueur
À ton zénith, tu me fais don de ta lueur
Pénible vie, que deviendrai-je sans ta chaleur
Condamné à migrer, pauvre oiseau de malheur
Le corbeau en mon âme, pareil à mes atours
Semble sombrer, sans mot chanter, jour après jour
Mais toi soleil, sur tes rayons apporte l'amour
Fruit doux comme le miel, allégeant nos cœurs lourds
Noirs sont les jours où tu ne rayonnes pas sur moi
Désemparées, lèvres sèches assoiffées de toi
Ton éblouissant regard me plonge en émoi
À trop t'admirer je me brûlerai la rétine
Qu'importe ton sourire agit sur moi comme morphine
Qu'on se le dise, le soleil se prénomme Marine
Est-il encore nécessaire de rédiger un pamphlet contre la bêtise humaine ?
Et pourtant, chaque fois que je croise un écran allumé, fenêtre ouverte sur le monde des hommes, se manifeste le besoin manifeste de créer tel manifeste.
Quelles sont les aspirations de cette cohorte de moutons, dont le train-train monotone n'est jamais réellement perturbé, quoi qu'il se passe autour de ces derniers ?
La liberté individuelle n'a jamais été aussi remise en question que depuis l'uniformisation massive des rêves de cette majorité silencieuse et vulgaire. Gare à vous si vous sortez de ce moule taillé pour vous tailler en pièces, le troupeau bientôt se change en meute assoiffée de sang quand on le confronte à la vacuité de son existence.
Les ères passent, apportant des possibilités de se rendre unique de plus en plus nombreuses. Cependant, ils demeurent une foultitude de zombies à désirer devenir le clone d'un zombie plus cool qu'eux.
Le numéro de série de leur Iphone, c'est leur matricule de déporté. Tous en route vers une mort certaine, un trépas spirituel, une extermination culturelle.
Si tant est que l'univers soit infini, il n'en va pas de paire avec les façons d'appréhender le monde. Ce monde a vite fait de coller une étiquette sur chacun de nos frères aveuglés, si bien qu'il est désormais aisé de trier nos semblables par caste ou idéologie. Par l'emploi de ce terme on sous-entend la manière de comprendre le monde, au sens vraiment large du terme.
Même les rebelles sont labellisés, disposant de leur code à observer et leur uniforme bien défini.
Stan Smith aux pieds, Fifty Shades of Grey pour Évangile, un gobelet Starbucks pour Saint Graal.
On leur dit que porter, que boire et manger, même la sexualité se voit standardisée.
Nos aïeux suivaient aveuglement le modèle de leurs parents. Cela valait-il mieux ?
C'est maintenant cette doxa sociale qui nous dicte nos mœurs.
Tout est aseptisé, jusqu'à nos peines de cœur. J'en veux pour preuve Facebook, qui va jusqu'à nous proposer d'effacer toute trace de la personne avec qui on a rompu, afin "d'alléger nos souffrances".
Tout ceci me dégoutte, j'aspire à quelque chose qui aurait été épargné, quelque chose de sale qui vos chastes regards fait détourner.
La mort, le martyr et le malheur vous ont toujours effrayés ? C'est pour cela que je me plairai à m'en faire le templier.
Souvent l'homme face à l'éternelle obscurité
Se plaît à croire qu'il est plus brave que ses semblables
Mais connaissant cette race il est des plus probables
Qu'il se fourvoie, effroi berceau de cécité
Or du fond de son âme l'homme se veut inconscient
La pure horreur de la réalité il fuit
Car lorsque ce dernier sonde au fond de lui
Il comprend qu'il finira tout comme ses parents
Tout au bout du chemin la faucheuse patiente
Inutile de courir car elle est omnisciente
Et nul coin de ce monde est hors de sa portée
Homme, ton heure approche lorsque tu veilles ou tu dors
Nul ici bas ne peut échapper à la mort
Blâme plutôt ceux qui sur cette terre t'ont amené
Par une nuit de chasse rôde le bon chasseur
Dans les rues de Yharnam il sème la terreur
Les braves gens du bourg peuvent dormir sans peur
C'est aux sombres bêtes qu'il arrachera le cœur
Vous pouvez trembler, impies assoiffés de sang
Car d'expier vos fautes il est venu le temps
Bien au fond de vos antres, terrez-vous à présent
Pour vous le chasseur vient, alors méfiez-vous en
Au clair de lune sur vous il abattra sa hache
Purifiant ce monde, afin que tous sachent
Que nous sommes délivrés, de la honteuse tâche
C'en est tout de l'âge de l'oppression par ces lâches
En proie à d'insipides démons intérieurs
Loin du monde vacillant sous la bêtise humaine
Avec la nature et les étoiles pour demeure
Tel une ombre perdue l'ermite traîne sa peine
Pourtant de clairvoyance il a reçu le don
Lui dont on dit que de sa vie il ne fait rien
Et vous comprendrez que vous le vouliez ou non
Qu'aveugles et sourds vous méprisiez un homme de bien
Puisque lui seul a réalisé la folie
Fleurissant dans ce que vous appelez ennui
Conquérant sommets hors d'atteinte de vos sciences
Le barbare est prompt à chiner ce qu'il ignore
Mais parlant de l'ermite votre silence est d'or
Car lui seul ici bas est doué de conscience
My kicks so sick of walking down the streets
But shit, fuck this I need you in my sheets
Every now and then I've felt happy since you left
But illusionary, it was only to forget the theft
The robbery, if you feel me, the way you stole my heart
Or should I mention that I handed it to you, so wasn't hard
I hate the way you duck questions, or should I say that
I'm in love with the fact I hate the way you duck questions
Swift like Mayweather the pace of your hips dictates my weather
Forgotten snowflake, your perfectness makes my winter so warm
You so hot I'm not catching no cold anytime soon
In your arms I plan to spend all-nighters and we'll have breakfast in the afternoon
They say love comes when you least expect it
But girl, I've been expecting you since you last changed your adress
Extinct, extinct, extinct this shady race
That should not be on top of the foodchain
Extinct that pure disgrace
That should not be there in the first place
Insanity of nature
Creating her own demise
The felony of the vulture craving for the flesh
Of the creature they despise
Our beautiful world's creatures' bravery
Is nothing compared to the rotten filth of a motivation
That animates the putrid wraith
Leading men and their sullied bastards
To a war against all life
Until everything's dead
The name of an organism
That brings nothing but chaos
Feeding from the others
And producing nothing but dust
Is parasite, is parasite,
We're parasites
Human never was good
As it ascended trough violence and domination
The construction of a nation via the destruction of evolution
Praising false idols and neglecting what's good on earth
Death and misery for species on its path
Hate and slavery are not part of the past
Man is the most selfish creature
As it thinks it was born to rule the world
In the name of what ?
In the name of God ?
In the name of a bigger brain
A level of consciousness that it is said animals can't reach
This is a pile of lies
The stranger who speaks another language is not an uncounscious beast
So why an animal could not fear death ?
Blind and deaf to the pain we inflict
Soon of our methods and our hateful instinct
We shall become the unholy victims
Justice comes late
But I pray for it to come tough
Nuclear holocaust, as much as it may cost
Appears as the brightest end for Planet Earth
The dying light of a fading day
The sad light shining its decrepite ray
On the world as we left it after we died
Rape victim of an outrageous act
Sullied forever but finally freed
From the disease that we call humanity
What if I don't want to live the life you chose for me ?
What if I decide that I can't live without you ?
What if I can't spend another day without thinking about how our life together would be ?
What if I just don't want to hear about living my life without you ?
You just keep pushing me back
When I just wish I could have back
These days we shared together
These days my heart felt like a feather
Since you left everything's grey
Even though it was for the best
I even considered turning gay
Depression would have got me to test
But that ain't the case
Only your heart I chase
No woman, no man, no beast attracts me
Only you makes me smile when I see
you with your beautiful eyes
And when your smile shines because of my silly jokes
I could run miles just for one of your strokes
Only you make me so hard
That I forget how hard life is
Your body takes my mind so far
I can't recall where my home is
And my homies keep telling me
That you're the one I should be
With and I can't really prove them wrong
Because it feels like heaven when you sit on my dong
Girl stop pretending I'm worth more than what you offer
Because after weighing the options I feel like I am stuck
Girl, you can't deny I was born to be your lover
So stop running away, my heart bleeds when you duck
Me and you press me to spread my wings and
You say we'll marry when we'll be old but
What if I don't wanna wait ?
What if it is you I want to get old with ?
Mon ennui abyssal est un terreau fertile
Vers que je fais flotter tel le poète sénile
Le public observe mon verbiage le regard fébrile
Sans trop me comprendre, leur approche fort malhabile
Le crachin sur les vitres alimente ma déprime
Les ombres me suivent, aussi expressives qu'un mime
Et pourtant du spleen je n'ai pas atteint la cime
Mon ennui m'ennuie, lugubre mise en abîme
Côtoyer les zombies fut la goutte de trop
Ma patience tel mon sang a besoin d'un garrot
Mal apprécié sur moi fut jeté le haro
Tous ces mots sont une invitation envoyée
À une plongée dans la noirceur de mes pensées
Avec l'espoir de ma pauvre âme pouvoir panser
Bitch is mad cuz I fucked her best friend with no respect
But bitch you know me what the fuck did you expect ?
My charisma has got them creatin' a sect
IQ of and insect, bitch's far from sanity
Crazy enough to think could have been a thing, really ?
Seems like the dumbass' blind or in lack of maturity
Bitch is blind or in lack of maturity
I reproduce the same scheme over and over
Bitch thinks with her pussy she could have make me love her
But know that once I'm done all I want is to leave her
Cuz lookin in her eyes' worst than a shot to the liver
And I deliver, and I deliver.
Thinking I had feelings was a miscalculation
Over a love story I just pick masturbation
Don't you count on me to show my emotion
Guys tired of bullshit are a huge fucking nation
And we comin', and we cumin'
Bitch looked sad as I left her ass on the frontdoor
Finally understood that I want her ass no more
Limping to her room and harly pushing her door
Just found the fully-loaded condom on the floor
And there's more, and there's more
To be honest I never planned to make you mine
Sorry I can't help but impress, just how I shine
Yet among all bitches, I pick those who fine
Who look good, who fuck good, but mainly who don't whine
So why you cryin ? So why you cryin ?
When you first look at me, I look good make you blind
Yet it is true I'm like a good old wine
Please make no mistake, I get better with time
Every time Ii get yo ass I be takin' my time
I be takin' my time, I be takin' my time
Don't you think destiny put me on your path
Me plus you equal nothing that shit ain't hard to math
Ring my phone again and you'll start my wrath
Ring my bell again and it's gonna be a bloodbath
Bitch take a bath, get out my path
Down again go the sacred Children of Sorrow
The roar of the thunder amplified in the sky
Once again they're condemned to the life of hollow
It is time for those who betrayed nature to die
And on this day righteousness is driven away
All its holy protectors are gone or slaughtered
A new era sets its roots on this very day
The wretched impurity soon shall be scattered
None of your prayers could save the scum from the hook
The wrath from the evil spairs the fair nor the crook
The impurity of the fools came from their faith
They let their false idols fall apart in their death
Thou soon shall know that age of Darkness has come
And for thee there will be no place to be called home
The end of the cursed era in which you prospered
And for humanity all signs of hope have faltered
C'est hésitant et tremblant que je m'avance.
Qu'entre nous je casse la distance.
Je m'élance, sans pour autant qu'une seule fois je pense.
À mes chances qui frôlent le quasi-néant.
Le casino quasi plus facile que rien branler je suis trop fainéant.
Pour agir de manière constructive, alors nonchalant.
Gros charlatan, je te captive avec ma prose prosaïque.
Ma rythmique radioactive, ma démarche passive agressive.
Et j'avance, je te baratine de fariboles et je prétends pas que le carambolage est ma motivation.
Dans tes bras, dans tes draps, sans hésitation, on va droit au carnage.
Pas besoin de fermer les yeux pour imaginer nos corps en nage.
Mille et une images sur Émile et Image.
Plus excessif qu'un pitbull atteint de la rage, j'ai les boules, j'ose même pas te demander ton âge.
Je sais que tu veux que je te saccage, mais dans le respect.
Ouais, c'est pas facile de briser la glace, comme le brise-glace qui brise l'iceberg.
Le bris de glace de ta putain de Fiat Punto,
Cette caisse de schlag vaut pas mieux qu'un Mondeo.
Mon déo empeste mais c'est toujours mieux que ma trance.
Trop intense, même pas je t'invite pour une danse.
Ça serait la piscine sur mon torse, pelouse détrempée, direct match reporté, annulé.
Pas de match retour pour le poisseux, gros poissard.
Mets du Narta, tu seras un chattard, sale queutard.
Si tu veux tremper, sens pas le fauve comme un bâtard.
À base de phases déphasées, je t'engage.
Et je gage que je dois t'amadouer sans te faire sourciller.
Ni osciller entre le oui et le non.
J'ai une bonne ouïe mais pas le don pour lire dans les pensées quand je pense aux tétons.
Pas d'affront, j'esquive la confrontation entre mon regard avide et ta belle paire de mamelons.
Mon escadron de fanfarons sait qu'il y a du monde au balcon.
À la façon que tous ces cons à l'unisson s'unissent et s’immiscent dans la conversation,
Je comprends, je pressens le bouchon de circulation.
Mon boner en gestation, mon volcan en érection.
Tout ça va tomber à l'eau, mon stress grimpe en flèche.
Faut que je fasse en sorte que ces bouffons me laissent te faire de la lèche.
Malaise, ces blédards fleurent bon la dèche, et sont de mèche.
Quand je me recoiffe, pour me niquer et me coiffer au poteau.
Pas de potos dans ce game, gros, quand tu veux pécho faut partir à la pêche solo, frérot.
Belle Annabelle ton Channel réveille en moi des instincts primates.
De prime abord j'aborde la question de l'immat.
Mais comme souvent je déborde, je divague, ce qui te dissuade de me lâcher ton code postal.
Silence dans mon futal, le sang froid du crotale,
Je te lâche une phrase banale, mais dans ce club c'est le scandale.
Ce faux pas va m'être fatal.
Tous ici savaient que t'étais la gow d'un gars, mais m'ont laissé me faire bâcher.
Prémâchées, mes phases de bolosse assumé ont pas marché.
Je bats en retraite, et je descends mon sale virgin mojito d'une seule traite.
Ce soir c'est branlette.
Si la solitude me guette la main gauche se joindra à la fête.
Pourquoi a-t-il fallu qu'encore cette année tu reviennes ? Tu sembles apprécier jeter le froid sur ma vie, mes envies et ma ville. Une fois de plus, je ne t'attendais pas, et pourtant ton arrivée j'appréhendais. Tel le vieillard craignant le trépas, à cause de son inéluctabilité, mon poil se hérisse à la fin de l'été. Ton courant d'air me parcourt l'échine, alors je sais que par chez moi tu viens traîner tes grolles. Lourde est ta démarche, dénué de subtilité tu viens subtiliser la chaleur qu'en moi les beaux jours avaient amenés.
Je te tiens toujours responsable pour le chaos dans ma vie, puisqu'il sied toujours de blâmer un triste sire pour la morne vie que l'on subit. Il n'est pas plus triste que toi en ce bas monde. Toi, qui paré de gris, apporte la mort à toute vie qui par avant s'était épanouie. Rien par toi ne naît, si ce n'est la fin, tu n'es pas signe de renouveau car c'est ton départ qui sème les graines de la renaissance.
Chaque chose un jour s'éteint, et c'est bien malgré moi que j'en suis conscient. Ta présence nauséabonde n'est qu'une piqûre de rappel, la vie n'est pas une ronde, c'est un segment. Les poings serrés, yeux grands ouverts, c'est la ligne droite vers le tombeau.
Ton gris manteau serait appréciable s'il n'apportait avec lui ce lourd fardeau. La temporalité de nos êtres, le malaise dans nos vies, cet irrépressible mal-être. Rien en toi n'inspire la confiance, à ton égard je n'éprouve que méfiance et défiance quand à ton arrivée. Jusqu'au dernier instant je retiens la beauté de l'été.
Jamais je n'ai voué de culte à cet astre solaire, qui un jour pourrait nous abandonner malgré son apparente inépuisabilité. Enfant du soleil, non, je ne le suis pas, il y a bien longtemps je fus par tous délaissé, depuis c'est à la Lune que ma vie j'ai vouée.
Chaque jour un peu plus, tu enveloppes le monde comme mon âme de ton linceul grisâtre. Chaque goutte de pluie est le poison qui dans mes veines coule quand arrive ta saison. Je ne perds pas le nord, mais je perds la raison. Quand déraisonne le tempo des quatre saisons. Et c'est bien toi qui mérite la pendaison, puisque le trouble tu jettes dans nos maisons.
Automne, tu es mon cancer, que je le veuille ou non, avec toi je vivrai, et souffrirai jusqu'à mon oraison.
These lines I scratch should be words of joy
Talking to you feels like invading Troy
I plunge deep inside my bag of tricks
Still it looks like I'm working for kicks
None of the things I'm explaining you
None of them you allow to break through
The wall you built between me and you
Now watch the things you make me do
I could lie and say I cry my eyes out
But dry my eyes for ages have been
Alone here Ii sit for rhymes looking out
But only prose is what they have seen
For you the words sound good when I speak
You are the last one who saw me weak
I dress and complain like a teenager
Because I'm chasing a ghost of my past
Not anymore you want me for lover
I didn't know that kiss would be the last
The clocks keep on ticking forever
And you are running away so fast
I think times does not draw us closer
Times like our chances really have passed
I dreamt of writing you a poem
But now it sounds like a requiem
I can feel that pain in my belly
Meaning I have lost what's good in me
"Joy makes me sick" that is my motto
But losing you hurts how could I know
Being a drawning man with no life buoy
Condemned to be the flow of life's toy
Coincé le cul entre deux chaises, je dois vous avouer que ma vie pue la merde
J'ai pas la pêche pour faire sourire les gens
Pourtant, je souffre pas
Mais avec le temps, le quotidien devient lassant
Lancinant le martyr d'être le pantin de ces gens
Qui contre monnaie de singe
Jugent bon de voler ces heures destinées à s'amouracher de la vie
Alors je déverse ma bile comme un chat sur la moquette de ta tantine
Pourtant je mange jamais à la cantine
Mais la soupe que servent ces bougues reste indigeste
Frustrées sont mes papilles
Je leur ai donné mes mains
Ils m'ont mis la corde au cou
Je suis un boulet de m’être fait enchaîner
Pourtant chaque jour je suis persuadé,
Que tout ira pour le mieux,
Dans le meilleur des mondes
Quand je serai comme un con sur mon tas d'or
Un gros tas qui dort empaffé engraissé aveuglé par sa propre bêtise
Persuadé d'être au top alors qu'il gît dans la merde
Si je griffonne ma chiure comme un gland sur un bout de papier
C'est que j'ai pas grand monde à qui me confier
En même temps qui pourrait comprendre
Qui pourrait encaisser
La chiasse cérébrale que j'ai à débiter
Je suis un taulard dans ma vie de paumé
Pas d'embrouille, pas de problème, mais aucune voie de tracée
Qui pourrait bien accepter
Que le bonheur me donne envie de tout baiser
Je suis accroc à la dépression
Je sais pas ce que c'est de souffrir
J'ai vu personne que j'aime mourir
Les problèmes je passe ma vie à les fuir
Alors selon les moutons je peux pas prétendre
Je pourrais même pas comprendre
Ces connards refusent d'entendre
Ma peur du vide
Mes cris de panique qui transpercent le silence nocturne
Ces grincements de dents qui à vos nuits nuit
J'ai pas la prétention, ni l'intention
D'un jour attirer votre attention
Mes jérémiades se font légion
La seule réponse demeure l'écho
Ma carcasse est mon cachot
L'air que je brasse sent bon le poison
Le pessimisme est une forme d'automutilation
À ce rythme vous allez ramasser un homme-tronc
Pas grand monde au balcon
Sauf quand pour vous je fais le bouffon
Quand est-ce que vous allez encadrer
Que je suis pas un putain de JIM CARREY
Peut-être que vous rirez
Quand il faudra venir m'inhumer
Que je serai bon à empailler
Rangez vous trois pièces noirs
Vous aurez pas mon sang sur les mains
Pas de don du sang pour les chien-chiens
Je déteste me prétendre unique
J'ai pas l'étoffe, j'ai pas la trique
Quand je vois la vie que vous prétendez magique
C'est la copie d'une pub Frolic
Tous les bolosses qui lèvent la patte pour un nonosse
Frelon fais gaffe si tu critiques
Leur train train, leur vie pathétique
Les toutous se changent en molosses
À coup de croc ça te remet en place
"Bouffon, c'est comme ça que ça se passe
Repose un peu les pieds sur terre
Y a rien qui tombe quand t'as la tête en l'air
Où tu crois aller dans la vie sans cotiser, sans épargner"
Épargnez-moi vos sermons
Vos haleines de pâtée au saumon
Rentrez dans le rang et mourrez bien cons
Je peux pas saquer les pseudo-rebelles
Et tout ceux qui s'en donnent le label
Pourtant à ces baltringues je dois concéder
Qu'à l'inverse de vous ils se laissent pas berner
Du moins pas par la plus évidente
Des phases de ceux qui vous mentent
Et qui vous la mettent,
Qui de labeur, vous ont collé perpète
Si jamais t'as lu jusqu'ici
T'as foutu ton temps en l'air
Ce torchon je l'ai pondu comme on lâche une fiente
La gueule serrée, cancéreux de l’amiante
C'est pour ça que ça a le goût de rance
C'est juste le fruit de mon errance
Quand le stylo se met en transe
J'ai le sourire jusqu'aux oreilles
Les pensées noires comme les corneilles
Dans tout ce merdier ma seule jouissance
C'est de t'imaginer arraché
À ta vie de bâton de chaise
Cherchant un sens à mes foutaises
People ignore how much it hurts
Until the day the bubble bursts
Time is the murderer of our existences
Yet humans keep building those deadly sentences
Pave their roads with lies and tricks
Like orphans playing with stones and sticks
So many seem so self-conscious
So few look to be anxious
As they go through a life of pain
They keep wearing that crooked grin
As now you know that you are in
A world where escaping is vain
Never I preached for love and hope
I wish I had on that day gone
I saw you on that slippery slope
And reaching for your hand was none
You don't want me to feel guilty
Who the hell am I after all
Yet losing you is a pity
I wish I could prevent your fall
Loud is the voice of those dark birds
Cowards always attack in herds
Number the weapon of the weak
Your difference is why you're unique
Too heavy the burden of yours
More on the fragile the rain pours
The glass forever is broken
And on this day my mind shaken
Inside my heart the iron will
To seek and find the ones who kill
But this is not the way you would want it to be
All I can hope is for the world to watch and see
That a gracious flower is lost
Despite the fact she was for most
Just a shadow merely a ghost
May her petals on us all rain
So in our hearts we plant a seed
To help us help the ones in need
And make her proud of us again
Le travail de toute une vie, passé sous silence
Ne rien essayer ou bien alors enter ma chance
Entre les deux mon cœur balance
Sans rien demander le chronomètre avance
Et fauche sans jamais sourciller
Ces instants qui auraient pu nous faire vibrer
Ces heures dont on a pas profité
Les secondes qui ont passé sans qu'on y ait pensé
Un sac vide ne tient pas debout
Pareille ma vie de bout en bout
Semblable à un ensemble vide
Pourtant d'aventure je suis avide
Mais face au vide j'ai l’œil placide
Pétrifié comme frappé par l'acide
Le regard dans le lointain
L'esprit tourné vers l'infini
Vers le trou noir qui t'attire
Cette mort certaine qui par centaines nous fauche chaque jour
Les membres de peur tétanisés
Le sentiment d'être enfermé
Prisonnier de la réalité
D'une existence qu'on aurait préféré ne pas mener
Gone are the days of my joyful youth
Past are the times of boundless love
Gone are the days of serenity
Long gone are the days of sincerity
The time we had to share has been dead like forever
And it looks like a smile on my face will comeback like never
Time has washed my smile away
Defeated are my principles
Dead are my allies
Alone here I remain
I am a ghost of the past
A past forgotten by all
Like it never existed
Wonder why I resisted
There is no point insisting
As the battle was lost ages ago
And now there is nowhere left for me to go
I foresaw long ago that flock of crows born from sorrow
There is no hope I can borrow
The lovers have lost their flame
In the desert there is no fame
In the abbyss there is no pain
Absence of enemies is yet no relief
Our scars will not heal
No one here to appease
Here I rot, bannished from the humans' company
No hand, no help to be given
I alone carry the burden on my back
The burden of a race extinguished for the better or the worst
I am the one condemned to survive the one of my like
I am the one the angel of death has refused to strike his venom on
Gone are the days of life in society
Here are the days of my lonely anxiety
Past have the years since the betrayal
Attempted murder of a race gone away without a trial
I am the ally of none
Because no one ever sides with me
The remains of our kingdoms
Have become the graveyard
Of the whole human race
The coffin we have spent our life building
Was the one designed to be our final bed
Friend of everybody
Loyal to none
You never seem to remember
All the things that were done
For you, for our so-called friendship
For the so-called loyalty you claim to give to the familly
You are so fake it's a matter of fact
Because the way you talk never match how you act
It has been a fucking long time since the first time we met
But I still wonder if you've shown your true face yet
I can't help but question the fact
That you mom ain't no hoe
Because of the way you act
Callin so many "bro", stabbing so many backs
But actually I feel blessed by the fact
That I know you're a fucking snake
Cause when you turn your back
On me you act so damn cold
Imma bout to catch a cold
And for hours fucking shake
Don't ever call me homie or brother
Because when I'm in need you never fucking bother
Showing your god damn face
On my fucking doorstep
When I need a hand
Or when I'm losing my step
I still wonder what you ever done for me
Yet I can not help but forgiving you homie
You never been smart
Yet you claim to be a genius
I just fucking hope you're not fucking serious
As I said my hand is still open brother
But you gotta realize
It will not be forever
You gotta show that loyalty you be claiming
And I'd better not hear
In my back you keep spitting
Because the love I give to my sibling
Is nothing compared to that fucking beating
That is coming your way
If you fail me again
If you turn your back on me or untrue you remain
Three unspoken words rotting in my mouth
Three fucking words I wish you would have said
By the time you read that I will be a stranger
A stray basterd lost in the wild and wandering
By the time you read those words our love will be dead
It was dead from the start, that is what you would say
I was just more comfort in your deserted heart
Except there is no love to appease my thirst
Against you there is nothing I can hold
The feelings I had cannot be erased
Only time and walking through the desert
Lead my heart to the place it needs to be
I want to feel sad because I know it means I am aware that I have lost something of high value.
I want you to feel sad once I am gone because it means you are aware I was precious to you.
I am blessed to be holding you on those very moments, forgetting about tomorrow and yesterday's sorrow.
I feel cursed to know love can not last long, though I am sure you marked my words, yet I will say it again :
"Blessed is the man who knows when he will die, for in his hands he holds the cards he has left to play before the game is over."
Bus stop, deserted streets on a saturday night
Sittin' the dark, eyes used to the absence of light
The city so quiet, just a car far away
The perfect setup, so we kissed our pain away
We grasped every second, hand in hand, with no fright
And all I wanted to do was to hold you tight
Not a single time we did mentioned the next day
In secret I praid to be with you every day
But as the days go by, you start drifting away
You start pretending you don't want to get stuck
So I shut you mouth with a kiss cuz I won't hear
I deny my love for you in every way
Pretending all I wanna do is to fuck
But giving you my heart's what I do without fear
Please do not listen to the talkers
They've never been much more than stalkers
I am no man of principles
I give what I can without expecting much
After all these days and nights feeling like I am left in the dark
Saying "I quit" has become an option
I give up on us since you gave up on love
Wiping those tears on my twisted face
Hoping that tomorrow will hurt less
Before you life already a mess
Why when I leave do you start to bless
Nine times out of ten you were busy or gone out
But I kept on that sad face an odd-looking grin
Just because I was looking to prevent us from phasing out
The knight for his queen would his life give with a smile on his face
I am no Lancelot, though you were my goddess
It must have been your eyes that drove me to madness
Because none of my words, even the craziests, were lies
Must be my demented mind pronouncing them
I was meaning all of them
Truly
The story doesn't tell who is the one who suffered most
All I know is about all the things that I have lost
They keep saying that loves makes us blind
But my eyes were wide open
I could see all the scars
And that heavy burden
All the things you would not say
All these words to hear I praid
"For the love of God" they keep preaching, but for the love of her I was fighting
Constantly
In vain
The battle was lost from the start
She expected love to grow as a flower
Now to cleanse my soul I need more than a shower
I feel like a fool, yet I was just a pawn
For that queen of hearts, who for I kept fighting from day to dawn
Some say the fire could be born from its ashes
I know there is no flame to be brought back
Because no cinder can be found, scattered by the cold cold wind of her soul
Within a heart so cold
When my heart of gold got stolen by the faceless witch called passion
I foresaw what kind of fall I was just heading into
I jumped
Because life is not about preventing yourself from the suffering of an excruciating pain
But to make your life worth suffering the pain without any regrets
When the crook smiles
All hope dies
For the one who tries
Feeding us with a bunch of lies
Because here inside my words the truth lies
I am a force to be reckoned with
Even though fuckers can't spell my name correctly yet
I'm the one every crazy bitches on earth would love to get
Fucked by but I'm sparin myself
I stay fresh
Away from the flesh
Of those who are out for blood
And from the bitches lusting for more
Cool as a cucumber
Cold as a cadaver
Gwaking dem schlags is the name of the game
I'm a keeper of the flame
Sending out shame to the world
And to everyone who deserves to
Be put back in his place
Even if it means putting a whoop on some face
I'm a keeper of the faith
You can't seem to get a grip on my slang
Sure it means you're a cunt that with my crew never hung
I'm from the BSM
Yet my throne I got to claim
Because I'm this gamefor you
I don't do it for myself
Soon enough it will be 2020
And by that time no one will call me a newbie
So one thing is for sure
I came here to stay
And all these fuckers disrespecting me
I came here to slain
Runaway kid lost in the wild
Wild jungle of the city
Soon finds out
The world is not a friendly place
Who should we blame
If the children of mother earth
Have turned into spineless chimeras
Who should we blame
When the heartwarming hand
Turns into a raging fist
Who should we blame
When abandoned by all
The kid starts drifting away
They keep praising diversity
And all these beautiful things
Respect, tolerance, and variety
Every value of our society
Don't you dare not fitting in the mold
Respect everybody
As long as they conform to your codes
Uniformity will never be
The thing you reckon as an utopy
The age of philosophers has come to an end
We have embraced a new way of thinking
We have embraced a new way of living
We have embraced the way of not thinking by ourselves
The way we embraced now prevents us from living
Like we should
Like our ancesters used to
Like we always should
Free
Free to think
Free to love
Free to praise what is fair
That lone wolf of a man
Adrift in this world of sheep
Reluctant to mingle with the herd
Cast aside by their laws
These rules supposed to protect the weak
Turned us all into cordless puppets
And now the wolf is out for blood
We are the ones to blame
Our crime is our own failure
We have failed to resist
We did not pass the test
We played our part in this masquerade
The mask is a blindfold
And the toy box is our coffin
Our crime is our own inaction
Facing our world falling apart
We stood there and did nothing
When the slavemasters have talk us into
One of their misleading plans
We should have realized
It was our soul about to be sold
We are the ones to blame
I never would've thought that
Feelings could get thrown in the air
Cause I accidentally caught that
I need some new boxing gloves, shit got hectic whenever I fought back
For example, ten minutes can't go past without you brushing my thoughts
That's fourteen forty a day so I'll say a hundred and forty four times
I think about you or something like that
Lost match, the fucking thought of you with somebody else
I don't like that; cellular convos getting left in the wrong
Cause I get so fucking mad when you don't write back
This isn't a song, I just happen to rhyme when I get emo
And find time to write facts (fuck)
I love you
Can we add some more color, um, like, some more, yellow
Yeah, that's good
[Hook](x2)
I fucking hate you
But I love you
I'm bad at keeping my emotions bubbled
You're good at being perfect
We're good at being troubled, yeah
[Verse 2: Tyler, The Creator]
Girl, you fucking with my emotions
The fuck is all this noise about?
I even considered picking up smoking
You turned to a bitch, who let the dogs out?
But in my dog house
My bitch is the raddest
Crazy who makes me the happiest
Can make me the saddest
Look Alice
Let's get lost in your wonder-er-land fuck an atlas
You're perfectly perfect for me
What the fuck is this, practice?
Actually, if you even consider leaving
I'll lose a couple screws in due time, I'll stop breathing
And you'll see the meaning of stalking
When I pop out the dark to find you
And that new dude that you're seeing with an attitude
Then proceed to fuck up your evening
Make sure you never meet again like goddamn vegans
Cause when I hear your name I can not stop cheesing
I love you so much that my heart stops beating when you're leaving
And I'm grieving and my heart starts bleeding
Life without you has no goddamn meaning
Sorry -- I'm passive-aggressive for no goddamn reason
It's that my mood change like these goddamn seasons
I'll fall for you, but I love you
I'm bad at keeping my emotions bubbled
You're good at being perfect
We're good at being troubled
Yeah
[Bridge]
The sky is falling girl, let's try to catch it
The sky is falling girl, let's try to catch it
The sky is falling girl, let's try to catch it tonight
The sky is falling girl, let's try to catch it
The sky is falling girl, let's try to catch it
The sky is falling bitch, let's try to catch it tonight
[Pharrell (Tyler)]
C'mon baby
Even though I hate you
I still love you
I love you
And Salem, my love (I know)
I'm passive aggressive (I'm sorry, fuck)
(Come here)
I like when we hold hands
(You're the best around)
See I get jealous (fuck)
And if I see that nigga (If I see him)
I just might kill him (look)
(Look. I wanna strangle you, till you stop breathing)
Love, love, love
(Spend the rest of my life, looking for air)
(so you can breathe, or we can die together, you and me)
(Fuck, look)
I'm in love (Love)
[Hook]
[Wolf/Salem]
Wolf: Yo, why is Samuel such a fucking dick?
Salem: He isn't such a badass actually. He's only here because he ran away, because some shit happened back home. He's actually a dweeb
Wolf: Yo, what happened?
Jamais j'aurai cru
Que les sentiments puissent flotter dans l'air
Mais on dirait bien que j'ai choppé quelquechose
Faut que je change de gants, ça part en couille quand je me défends
Il se passe pas 10 minutes sans que je pense à toi
1440 par jour, ça nous fait 144
fois où je pense à toi, un truc du genre
À la pensée de te voir avec un autre
Je pète les plombs
Je deviens fou quand tu me réponds pas
Ce n'est pas une chanson, je pose juste mon flow quand j'deviens émo
et que je couche ma vie sur le papier
Je t'aime
Un peu plus de couleurs, genre du jaune
Ouais, ça le fait
[Hook](x2)
Putain, je te déteste
Mais je t'aime
Je sais pas garder mes émotions
Tu sais comment être parfaite
On sait tout foutre en l'air
[Verse 2: Tyler, The Creator]
Meuf, tu joues avec mon cœur
C'est quoi ce putain de bruit ?
J'ai failli me mettre à fumer
T'es devenu une chienne, il s'est passé quoi ?
Mais dans ma niche
Ma chienne est la reine
Cette folle qui me rend heureux
Sait aussi faire mon malheur
Regarde Alice
Faut qu'on se casse dans ton pays merveilleux
T'es parfaitement parfaite pour moi
C'est quoi, ça, l'entrainement ?
Au fait, si tu penses ne serait-ce qu'une fois à partir
Ça va me rendre complètement dingue. Je perdrai la raison
Et tu verras ce que c'est d'être harcelée
Quand je surgirai de l'obscurité pour venir te trouver
Quand tu seras avec ce nouveau gars en soirée
Je viendrai pour tout baiser
Je mettrai tout en oeuvre pour vous séparer
Parce que quand j'entends ton nom ça me fait trop criser
Je t'aime trop, quand tu te barres, c'est ma santé qui fout le camp
et mon cœur saigne quand tu t'éloignes
La vie sans toi n'a aucune putain de sens
Désolé, je sais pas pourquoi je m'énerve
Mon humeur change comme les putain de saisons
Comme les feuilles je tombe, mais seulement pour toi
Je sais pas garder mes émotions
Tu sais comment être parfaite
On sait tout foutre en l'air
Yeah
[Bridge]
Le ciel s'effondre, chérie, on va ramasser les morceaux
Le ciel s'effondre, chérie, on va ramasser les morceaux
Le ciel s'effondre, chérie, on va ramasser les morceaux, ce soir
Le ciel s'effondre, chérie, on va ramasser les morceaux
Le ciel s'effondre, chérie, on va ramasser les morceaux
Le ciel s'effondre, chienne, on va ramasser les morceaux, ce soir
[Pharrell (Tyler)]
Allez Chérie
Même si je te hais
Tu sais bien que je t'aime
Et Salem mon amour (je sais)
Je suis sur la defensive (Désolé, merde)
(Viens là)
J'aime quand on se donne la main
(C'est toi le meilleur ici)
Alors je suis jaloux
Si je vois ce batard
Je crois que je vais le buter
(J'ai envie de t'étrangler, jusqu'à ce que tu respires plus)
Love, love, love
(Le reste de ma vie, à chercher mon souffle)
(Alors respire, ou on meurt tous les deux)
(merde, regarde)
Je suis amoureux (Love)
[Hook]
[Wolf/Salem]
Wolf: Yo, pourquoi c'est un connard ce Samuel ?
Salem: Au final c'est pas un dur, il s'est juste barré de chez lui parceque c'était la merde là-bas, c'est juste un boloss.
Wolf: Yo, il s'est passé quoi ?