jeudi 10 décembre 2015
Sous tes rayons
L'épiderme échauffé, ruisselant de ma sueur
À ton zénith, tu me fais don de ta lueur
Pénible vie, que deviendrai-je sans ta chaleur
Condamné à migrer, pauvre oiseau de malheur
Le corbeau en mon âme, pareil à mes atours
Semble sombrer, sans mot chanter, jour après jour
Mais toi soleil, sur tes rayons apporte l'amour
Fruit doux comme le miel, allégeant nos cœurs lourds
Noirs sont les jours où tu ne rayonnes pas sur moi
Désemparées, lèvres sèches assoiffées de toi
Ton éblouissant regard me plonge en émoi
À trop t'admirer je me brûlerai la rétine
Qu'importe ton sourire agit sur moi comme morphine
Qu'on se le dise, le soleil se prénomme Marine
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